La musique relie les hommes

La musique beauté, la musique language, la musique multiple, la musique joie et universelle. Quel moyen extraordinaire pour relier et découvrir les peuples et communautés si différents mais « en » même humanité! La musique libre comme l’air et qui échappe encore aux lois de l’argent…parfois. Une chouette musique et « le courant passe » entre les uns et les autres, on passe des tracas quotidien à la joie, l’espace d’un instant. Allez la semaine commence, laissons les mots de côté et vibrons « all other the world » (enfin presque…)

merci Odile.

et pour en savoir plus, et pour découvrir d’autres musiciens, et pour changer le monde par la musique ….http://playingforchange.com/

Un instant de joie

Un instant de joie au moment où on arrive en haut d’une montagne, ça y est l’objectif fixé est atteint. A  ce moment, oui c’est un bonheur, que l’on partage avec tous les coéquipiers!

Après les « plans sur la comète », le dossier de candidature accepté, les cours, le mémoire et pour finir l’examen, sans compter le stress, et bien c’est la joie d’avoir réussi, et d’être riche de toute cette nouvelle expérience et surtout de toutes ces rencontres qui vont compter pour la suite du chemin.  Un grand merci à Voix Libres qui m’a offert un très  beau sujet de fundraising… à concrétiser maintenant, mais c’est une autre histoire.


Whaou c’est la semaine du développement durable !

J’ai un peu peur, en effet ne risquons nous pas la saturation, tant les messages sur le développement durable nous cernent à 360°. Tant de promesses, de bonnes intentions, et il faut bien en convenir de marketing autour de la révolution verte, la croissance verte, l’économie verte etc…etc…Mais au final sommes-nous prêts à faire les efforts, les révolutions qui s’imposent pour inscrire définitivement nos actions dans une cohérence de responsabilité durable?

Rappelons-nous la définition du développement durable proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland.

« Un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »

Des concepts à conjuguer à tous les temps de nos actions. Ce n’est pas facile, car bien souvent nous n’avons pas conscience de faire « mal » pour les générations futures.

Posons nous, nous-mêmes les bonnes questions, toutes les bonnes questions ? Pourquoi ? pourquoi ? Pourquoi?