« La puissance créatrice des émotions »

C’était pendant le forum Mulhouse Terre des Nouveaux Possibles

Comme un cadeau en cette fin d’année 2012, nous avons envie de partager avec vous un moment unique et inspirant, une émotion forte vécue au TEDxAlsace. Ecoutez, laissez vous transporter, convaincre que …tous les possibles sont possibles en suivant la puissance créatrice des émotions. Cela donne « une pèche » incroyable !

Urgence : mobilisons nous pour le mécénat

Juin 2012

A nouveau le système d’incitation au mécénat est menacé. Nous avons un des meilleurs dispositifs du monde et dans un contexte économique grave, plus que jamais les associations ont à faire face aux carences de l’état et des autres agents économiques. Que serait la France sans les actions des associations et donc de leurs donateurs (entreprises et particuliers) ? Que serait le soutien au développement des pays les plus pauvres sans les donateurs (entreprises et particuliers) ? Cessons d’assimiler la défiscalisation des dons à une « niche fiscale de plus » ! Laissons le choix au donateur d’attribuer une partie de son impôt à la cause qu’il veut soutenir ! Préférence Ethique relaie l’appel de l’Admical ci-dessous.

Cher(e) ami(e),
Vous avez signé la pétition en ligne « Contre les effets de la crise, sauvons le mécénat ! », et je tenais à vous en remercier. Votre soutien nous est essentiel pour préserver la réduction fiscale liée au mécénat d’entreprise et éviter une chute des dons.
Vous êtres aujourd’hui plus de 1200 co-signataires, en moins d’une semaine : bravo et merci à tous !
Pour que la mobilisation continue, nous avons besoin de vous. Vous pouvez nous aider de deux manières :
1/ En diffusant à vos contacts le message suivant :
Des discussions actuellement en cours dans les cabinets ministériels menacent les avantages fiscaux liés au mécénat d’entreprise. Le ministère des Finances envisage en effet de diviser par deux le pourcentage du don déductible de l’impôt sur les sociétés. Cette mesure entrainerait mécaniquement une chute des dons et serait catastrophique pour les bénéficiaires du mécénat, qui œuvrent chaque jour dans les domaines du social, de l’éducation, la santé, la culture, l’environnement, le sport, la recherche ou la solidarité internationale.
Avant qu’il ne soit trop tard, il faut nous mobiliser pour sauver le mécénat.
Admical, association pour développement du mécénat, sensibilise la presse et les acteurs publics, pour faire prendre conscience à tous des effets désastreux qu’occasionnerait une telle mesure. Le Cercle – Les Echos a publié une tribune d’Olivier Tcherniak, président d’Admical, pour défendre le mécénat d’entreprise, qui a été abondamment relayée dans toute la presse nationale.
Vous pouvez vous aussi vous mobiliser :
– En signant massivement la tribune du président d’Admical en cliquant ici :http://www.petitionduweb.com/Petition_contre_les_effets_de_la_crise_sauvons_le_mecenat-15048.html
– En diffusant sur Twitter le tweet suivant : Menace sur le #mécénat : #associations, #entreprises, acteurs de la #culture, signez la tribune d’@Admical pr le sauverbit.ly/LW6Rnt
– En diffusant sur  Facebook le message suivant : Menace sur le mécénat d’entreprise : associations, établissements culturels, entreprises, philanthropes, MOBILISEZ-VOUS pour le sauver en signant la tribune d’Admical :
– Si vous êtes bénéficiaire du mécénat, en adressant au ministère des Finances (@_Bercy_) un tweet pour lui dire ce que vous apporte le mécénat, pourquoi il faut sauver le mécénat.
– Si vous êtes une entreprise, en proposant à vos partenaires et bénéficiaires ce plan d’action.
Ce plan d’action est à diffuser le plus largement possible !
2/ En nous donnant des exemples chiffrés
Pour défendre le mécénat d’entreprise auprès de plusieurs ministères (Vie associative, Sport, Economie sociale et solidaire, Culture…) et tout particulièrement auprès du ministère du Budget, nous avons besoin d’utiliser l’argument économique : quel est l’impact économique du mécénat en termes d’emplois créés, d’attractivité économique développée dans une ville/région, d’aménagement du territoire (PME-PMI), d’égalité territoriale…
Entreprises : Vous êtes nombreuses à mesurer l’impact de vos actions, et nous avons absolument besoin d’exemples pour étayer notre discours. C’est pourquoi, si vous avez des documents, des chiffres, des bilans à nous transmettre, qui prouvent que votre action a un impact économique, je vous remercie de me les transmettre par retour de mail.
Bénéficiaires : Certains d’entre vous mesurent l’impact du mécénat sur vos structures, et nous avons absolument besoin d’exemples pour étayer notre discours. C’est pourquoi, si vous avez des chiffres sur la part du mécénat dans vos financements et des documents ou des études quantitatives à nous transmettre, qui prouvent que le mécénat a un impact économique sur votre structure, ou à travers votre structure,  je vous remercie de me les transmettre par retour de mail.
Pour sauver le mécénat, restons mobilisés.
Nous comptons sur vous.
Bien sincèrement,
Bénédicte MENANTEAU
Déléguée générale d’Admical
ADMICAL – Carrefour du mécénat d’entreprise
www.admical.org Suivre Admical sur Twitter

« Une nouvelle conscience pour un monde en crise »

ou vers une civilisation de l’empathie, nouveau livre de  Jeremy RIFKIN. Une fois de plus, des idées qui nous bousculent, mais qui sonnent vraies, tant le monde sur notre petite planète  connait des bouleversements à vitesse plus qu’accélérée. A découvrir absolument.

La présentation du livre

« Jamais le monde n’a paru si totalement unifié (par les communications, le commerce, la culture) et aussi sauvagement déchiré (par la guerre, la crise financière, le réchauffement de la planète, la diffusion de pandémies).
Quels que soient nos efforts intellectuels face aux défis d’une mondialisation accélérée, nous ne sommes pas à la hauteur : l’espèce humaine semble incapable de concentrer vraiment ses ressources mentales collectives pour « penser globalement et agir localement ». Dans son livre le plus ambitieux à ce jour, le célèbre penseur critique Jeremy Rifkin montre que cette déconnexion entre notre vision pour la planète et notre aptitude à la concrétiser s’explique par l’état actuel de la conscience humaine.
Nos cerveaux, nos structures mentales, nous prédisposent à une façon de ressentir, de penser et d’agir dans le monde qui n’est plus entièrement adaptée aux nouveaux contextes que nous nous sommes créés. L’environnement produit par l’homme se mue à vive allure en espace planétaire, mais nos états de conscience sont encore agencés aux ères précédentes de l’histoire, qui s’évanouissent tout aussi rapidement.
L’humanité, soutient Rifkin, se trouve à l’aube de sa plus grande expérience de tous les temps: remodeler sa conscience pour que les humains puissent s’aider mutuellement à vivre et à prospérer dans leur nouvelle société mondiale… A l’heure où les forces de la mondialisation s’accélèrent, s’approfondissent et se complexifient, tout indique que les anciennes formes de conscience religieuses ou rationalistes, soumises à trop forte pression, deviennent dépassées et même dangereuses dans leurs efforts pour piloter un monde qui leur échappe de plus en plus.
L’émergence de la conscience empathique sera probablement un changement d’avenir aussi gigantesque et profond que lorsque les philosophes des Lumières ont renversé la conscience fondée sur la foi par le canon de la raison. »

Et pour en savoir plus le lien vers un article très complet  et « décoiffant »

La grande illusion…

…de notre capitalisme. Nous avons l’illusion de vivre dans une société  « bulle », dans un continent » bulle » où rien ne peux atteindre et entamer notre illusion du consumérisme heureux. Les effets collatéraux sont occultés par des lunettes , là sur nos nez et qui sont de la marque « le déni« . Déni de la pauvreté au bas de notre porte, déni de la misère morale de nos anciens, déni du nombre de suicides des agriculteurs, de  nos jeunes,déni de nos inconséquences payées par les pays dit du sud, de la destruction de notre environnement….mais on continue, jour après jour à creuser le trou sous nos pieds, peut être n’y tomberons nous pas? Et ça c’est la méchante dernière illusion! Mais il a des remèdes…ouvrons nos yeux ! et rendons nous heureux en nous engageant pour l’intérêt général.

Stop… quand ?

Quand j’étais petite, avant Pâques nous organisions et réalisions toutes sortes d’activités afin de collecter quelques pièces pour aider les enfants qui mourraient de faim. Il y avait aussi la petite boite en carton que j’assemblai avec le sérieux et l’enthousiasme d’un enfant, toutes les pièces que je pourrais y mettre aideront les enfants. Ce drame de la faim montré et expliqué (?!) par les adultes me plongeait dans la perplexité « Ici pour moi tout va bien où presque, et là bas, ils meurent de faim. Pourquoi rien n’est fait rapidement pour ces pauvres enfants si affreusement maigres »…

Les années ont passé et j’ai même changé de millénaire… et pour les enfants franchement, il semble que se soit pire qu’avant. Les dernières informations du front des démunis sont plus qu’alarmantes.

ci dessous un extrait d’un article paru sur le site de www.youphil.com et écrit par Pierre Salignon (ancien directeur général de Médecins Sans Frontières France et spécialiste des questions humanitaires).

La crise économique et financière s’étend, obligeant les associations à relever plusieurs défis. Le premier est d’ordre social et humanitaire. Comment faire face, aujourd’hui et demain, à l’augmentation du nombre de personnes qui tombent et tomberont dans la misère ? Car le nombre de bénéficiaires, comme on les appelle maladroitement, ne cesse de croître.

En France d’abord. Il suffit de se promener en ville pour constater que la population des sans-abris devient plus visible, plus pauvre et plus démunie aussi. Hommes, femmes, enfants et personnes âgées. Aucune catégorie sociale n’est épargnée…

L’association Emmaüs a récemment publiée un rapport alarmant sur la hausse rapide du nombre de ceux qui se retrouvent sans abris, sans ressources. Sans parler de la campagne hivernale des Restaurants du Cœur qui ne désemplit pas : plus 12% de repas servis en 2008.

Cette évolution existe bien entendu aussi dans les pays du Sud, qui sont déjà les plus défavorisés, en Afrique, en Asie et ailleurs.

On parlait il y a un an de plus de 800 millions de personnes souffrant de la faim dans le monde.Sous l’effet conjugué de la crise financière internationale et de l’envolée des prix de certaines denrées alimentaires, ce sont désormais selon les Nations Unies près d’un milliard de personnes qui souffrent de malnutrition.

En Septembre 2008, il y a 6 mois, les Nations Unies avançaient le chiffre de 925 millions, dont plus de 55 millions d’enfants de moins de 5 ans qui souffrent de malnutrition aigue; soit un enfant sur 10 dans le monde.

Le déficit global de financement prévu pour les pays du Sud en 2009 s’élève lui à 700 milliards de dollars selon la Banque mondiale.Les chiffres parlent d’eux-mêmes et annoncent déjà une explosion de la pauvreté et de ses laissés-pour-compte.

Le second défi que rencontrent les ONGs est budgétaire. Comment maintenir les programmes d’assistance existant alors que la collecte de fonds se contracte ? …

On ne peut présumer de se qui va réellement se passer et, souhaitons que la crise favorisera une solidarité de proximité plus importante demain, comme certains analystes le suggèrent. Mais, comme le dit Antoine Vaccaro, Président du (Cerphi),

« l’incertitude liée à la crise actuelle est le pire ennemi de la générosité ».

Restons mobilisé! Faisons plus!

Décharge de Kara-Kara cochabamba Bolivie
Décharge de Kara-Kara Cochabamba Bolivie

Bonsaï… de Noël

Et voilà toute la maison est prête…tout à l’heure c’est la veillée de Noël.  C’est la parenthèse de l’année où les souvenirs de l’enfance se bousculent dans la mémoire, où la nostalgie se mélange à la surprise et à l’excitation des enfants, où chacun est émue par sa « madeleine », les bonnes odeurs de la cuisine.

Ah Noël!..son côté « pile » et son côté « face ». c’est le moment de faire un voeux après les flops récents …un voeux comme « break the wall of poverty! » Allez Père Noël met cela dans les petits souliers!

Joyeux Noël à mes fidèles lecteurs!

Pour moi, les pauvres sont comme des bonsaïs

Si vous plantez la meilleure semence du plus grand des arbres dans un pot de fleurs, vous obtiendrez une réplique de cet arbre haute de quelques centimètres.
Ce n’est pas la semence qui pose problème: c’est le terrain qui ne convient pas.
Les pauvres sont des hommes-bonsaïs.
Il n’y a rien de mauvais dans leurs origines. La société ne leur a simplement pas donné ce dont ils auraient eu besoin pour se développer.
Pour sortir les pauvres de la pauvreté, il faut créer un environnement favorable.
Une fois que les pauvres pourront libérer leur énergie et leur créativité, la pauvreté disparaîtra très rapidement.
Joignons nos mains pour donner à chaque être humain une chance de libérer son énergie et sa créativité.

Muhammad YUNUS Prix Nobel de la Paix ‘Vers un nouveau capitalisme’


Act now… plus de blablabla

J’ai découvert le mot blablabla. Je l’oppose systématiquement à « action » car la personne parlant le « blablabla » n’a pas encore compris que c’est une langue trop lente par rapport aux défis que nous devons relever maintenant. Les gens qui parlent le « blablabla » ont toujours une bonne raison d’inventer encore plus de « blablabla » et très souvent c’est eux qui décide de faire appliquer leurs « blablabla ». Pourtant nous le savons bien que ce n’est que du « blablabla » mais bizarrement on continue à les supporter, à les laisser faire! Alors faut se bouger sinon nous allons être contaminés par le blablabla  et que diront nous aux petits Léon, Mathilde, Félicie, Kélian, Robertito, Kim…devenus grands? Que nous étions des supers malades du blablabla , que nous avions des médicaments pour nous soigner de cette maladie mais que … nous avons laisser faire.

Act now         Les Amis de la Terre      http://dubruitpourleclimat.org/

9 novembre 2009

Let put poverty in museum

Muhamad Yunus  Berlin le 9 novembre 2009, 20 ans après la chute  « du mur »

Faites tomber les murs, les visibles et les invisibles! Avoir une belle longueur d’avance par rapport aux politiciens, montrer la voie celle que souhaite le citoyen, celle qu’il faut pour nos enfants et nos petits enfants! L’égoïsme c’est démodé mais surtout c’est du pur suicide.

To blog or not to blog…

Et oui le blog, si à la mode est parfois une vrai petite angoisse celle de la page blanche ou plutôt de l’écran blanc! J’ai toujours avec moi plein de petits papiers où j’inscris au fil de l’eau: des remarques, ce qui m’interpelle, les mots d’un article qui m’a touché, révolté, une idée qui passe dans mon tourbillon de train « à pensées »… et ensuite c’est le face à face clavier/souris. Comment toucher les autres? Comment informer?Comment partager? Et d’abord est ce que ce sera lu? Quel légitimité puis-je avoir, moi simple bloggeuse?  Peut être que je me pose trop de questions, je ne fais finalement que jouir de la merveilleuse liberté d’expression, et en final je laisse parler mon coeur, ma sensibilité …il restera une empreinte quelque part dans un autre coeur.

Mon fil conducteur comme vous avez pu le constater (peut être), « des actions pour notre petite planète » mais sans oublier ses habitants et notamment les plus faibles, les plus démunis face à la grosse machine des marchés.

Alors rejoignez tous les bloggeurs de la planète, lors du « Blog action Day 2009 », et oui nous ne sommes pas seuls, nous ne sommes jamais seuls! Faisons nous entendre, comprendre!