Whaou c’est la semaine du développement durable !

J’ai un peu peur, en effet ne risquons nous pas la saturation, tant les messages sur le développement durable nous cernent à 360°. Tant de promesses, de bonnes intentions, et il faut bien en convenir de marketing autour de la révolution verte, la croissance verte, l’économie verte etc…etc…Mais au final sommes-nous prêts à faire les efforts, les révolutions qui s’imposent pour inscrire définitivement nos actions dans une cohérence de responsabilité durable?

Rappelons-nous la définition du développement durable proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland.

« Un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »

Des concepts à conjuguer à tous les temps de nos actions. Ce n’est pas facile, car bien souvent nous n’avons pas conscience de faire « mal » pour les générations futures.

Posons nous, nous-mêmes les bonnes questions, toutes les bonnes questions ? Pourquoi ? pourquoi ? Pourquoi?

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